« Dans le sillage du mouvement MeToo qui a libéré la parole des femmes victimes de violences, certains partis politiques, à gauche principalement car cela fait partie de nos combats fondamentaux, ont mis en place des dispositifs internes d’écoute et d’accompagnement des victimes. D’autres, à droite et à l’extrême droite, ont choisi de ne rien faire. Au PCF, nous avons fait le choix de mener une politique de tolérance zéro.