À Nantes, au cinéma le Katorza, le festival du film russe prévu du 31 mars au 3 avril est annulé. Bien que renommé – Entre Lviv et l’Oural –  il devait se tenir comme chaque année sous l’égide d’Univerciné avec la participation habituelle de l’association Russies étonNantes préoccupée par la solidarité avec les réfugiés. Cependant le cinéma le Katorza maintient une programmation de films russes et ukrainiens.

Urbains ou ruraux, périurbains, rurbains ou néoruraux, en tant qu’habitants, nous sommes définis par l’espace qui nous entoure, espace produit par notre société. Or, il a beaucoup été question, avec la pandémie et ses conséquences économiques et sociales, de recherches de nouveaux modes de vie, de nouvelles manières d’habiter liées au télétravail, à un besoin de nature, de la contrainte de circuler à moindre coût énergétique… 

L’Université a pour objet d’ouvrir un autre espace pour accueillir des pensées construites et progressistes. Une volonté d’avoir un autre point de vue, signe d’une distance avec les discours dominants. Une perspective qui n’a rien de minimaliste.

Elle s’inscrit dans un projet plus large d’éducation populaire, de diffusion de savoir pour construire par soi-même des repères, de la pensée critique, des argumentaires dont l’ambition est de mettre en question l’ordre social existant.

Quelques semaines seulement avant le premier tour des élections présidentielles, Les Rencontres de Sophie vont traiter d’une thématique portée par l’actualité : le peuple.

Sujet très politique s’il en est, les controverses risquent d’être vives, d’autant que, selon qui parle, à qui il est adressé et la période de l’histoire où il est prononcé, le terme de « peuple » peut être entendu de manières très différentes. 

Cette année encore, le festival nantais des littératures développe son ouverture sur l’ailleurs, son désir de questionner les cultures et les imaginaires des cinq continents.

Plus d’une centaine de rencontres se succèdent ainsi dans un certain nombre de lieux de la ville : au Château des ducs, à la libre usine, dans les maisons de quartier, les librairies, les médiathèques et bien sûr, au Lieu Unique pour un beau programme comprenant une cinquantaine d’auteurs invités.

Quelle satisfaction, dans la période que nous connaissons, de voir programmer La Folle Journée 2022 du 26 au 30 janvier, le rendez-vous nantais de la musique classique ! Pour Aymeric Seassau, adjoint communiste à la Culture à Nantes, « C’est peut-être, à nouveau, le premier événement national à être maintenu dans le contexte sanitaire ». 

Les BiS devaient ouvrir le 19 janvier, mais ont été annulées. Culture en lutte, CGT Spectacle PDL & Bretagne, Synavi et CGT des Travailleurs Privés d’Emploi et Précaires ont donc décidé de tenir les nôtres. Mme Bachelot était conviée... Pas venue ! Elle ne répond pas non plus à nos revendications, qui l’interpellent depuis de nombreux mois. La culture est encore en danger car la reprise n’a jamais vraiment eu lieu.

Il y a soixante ans étaient signés les accords d’Évian qui allaient mettre fin à la guerre d’Algérie, par un cessez-le-feu prenant effet le lendemain. L’arrêt des hostilités ne sera pas total et il y aura encore des morts et des blessés, victimes de l’OAS et autres organisations factieuses, avant la proclamation de l’indépendance de l’Algérie, le 5 juillet 1962, fin de l’emprise coloniale de la France sur l’Algérie.

Suite à l’empêchement du concert d’Anna von Hausswolff sous la pression de catholiques intégristes français, Frédéric Hocquard, adjoint à la maire de Paris, Carine Rolland, adjointe à la maire de Paris en charge de la culture et Aymeric Seassau, adjoint à la culture à la maire de Nantes ont publié une tribune commune : 
« Garantir l’accès aux spectacles et aux expositions, c’est garantir l’État de droit 

Mis aux enchères par la maison de vente Sotheby’s, le manuscrit d’Émile Zola de l’adaptation au théâtre de Germinal est finalement resté dans le domaine public.

La communauté d’agglomération de la Porte du Hainaut (Nord) avait remporté l’enchère pour 138 000 € mais l’État a fait jouer de son droit de préemption pour acquérir l’œuvre qui entrera désormais dans le fonds de la Bibliothèque nationale de France.

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