Les scientifiques du monde entier qui participent aux travaux du Giec attirent notre attention depuis des années sur la gravité des conséquences du changement climatique.  Fonte des glaciers et des calottes glaciaires, montée des océans et perte de biodiversité, aggravation des sécheresses et des tempêtes, les phénomènes dus au réchauffement climatique nous alertent et c’est avec la volonté de travailler sur des réponses réalistes que le Parti communiste a présenté « Empreinte 2050 », son « plan climat pour la France ». 

Ce plan climat, tout en refusant une vision austéritaire qui condamnerait d’avance toute avancée, se veut radical et porteur d’un modèle de société en rupture avec le capitalisme. 

Partant des besoins actuels et en affirmant que chacune et chacun doit pouvoir se nourrir sainement, se loger décemment, se chauffer et circuler, le plan déroule de très nombreuses mesures permettant d’atteindre la neutralité carbone en 2050. 

À ces mesures s’ajoutent celles qui seront nécessaires pour l’adaptation des individus, des entreprises et des collectivités au changement climatique.

Ce plan représente le premier jalon d’une réflexion collective, amenée à s’enrichir au fur et à mesure des recherches et des études à venir. 

https://revue-progressistes.org/wp-content/uploads/2023/11/Empreinte2050.pdf

C’est un arménien, résistant communiste des FTP-MOI qui nous le rappelle par cette phrase au moment d’être fusillé par les Nazis en 1944 « …je n’ai aucune haine contre le peuple allemand… ». Une déclaration à méditer et une conception internationaliste à défendre. La conscience et le sens de la solidarité entre les peuples de Missak Manouchian sont un exemple pour aujourd’hui.
La résistance communiste parmi toutes les résistances peut s’honorer de telles personnalités. Elle ne commence pas un jour de fin juin 1941 comme l’affirmait le Général De Gaule en 1955 «… mis à part quelques individualités, le PCF n’est pas entré en résistance avant le 22 juin…».

La protection de la planète n’est pas un marché ! 

La COP26 s’est tenue du 1er au 12 novembre. Face aux conséquences du dérèglement climatique qui se font sentir partout sur la planète, l’enjeu principal est maintenant de limiter le réchauffement climatique à 1,5°. Il y a urgence ! Pourtant c’est le constat d’échec qui prime avec une lenteur criminelle dans les décisions. Ce n’est pas une COP historique ! En effet les engagements pris « pourraient » permettre un niveau de 2,4° à la fin du siècle. Rappelons que le 1er rapport du GIEC date de 1990, la 1ère COP (Berlin) en 1995.

En France, les émetteurs de CO2 sont principalement : les transports (dont routiers) 29%, l’agriculture 17%, le résidentiel (logements) 16%, les déchets 4%, l’industrie 30% (dont production de l’énergie 9%).

Dimanche 17 octobre 2021 - 11h30

Samedi 16 octobre
- 14h 00 : Inauguration d’une plaque en hommage à Jules Auffret, Marc Bourhis et Guy Môquet au cimetière du Petit Auverné
- 15h 00 : vente dédicace du livre « En vie, En joue, Enjeux » sur les 50 otages à la médiathèque de Châteaubriant
- 20h 30 : conférence de Thomas Fontaine, directeur du Musée national de la Résistance au théâtre de Verre

Dans la France impériale dorée de 1870, la population industrielle s’accroît, la société est toujours dominée par le monde rural. L’âge d’or du capitalisme de libre concurrence s’articule avec la révolution industrielle, c’est le temps des Schneider et des banquiers Pereire. Progrès techniques et exploitation de classe riment avec pauvreté. Les réalités d’existence des ouvriers –environ 3 millions dans les villes- sont miséreuses. Pour le logement comme pour les subsistances.

En mars dernier comme l’État à son sommet, les collectivités se sont trouvées surprises par l’évolution de l’épidémie de COVID-19. En l’absence de préparation, les textes encadrant l’action publique n’ont cessé d’évoluer et, par-là, une grande diversité de mesures ont pu - ou non - être prises au niveau local.

Avec ce deuxième confinement, le Gouvernement a souhaité que les services publics demeurent accessibles et fonctionnels et que l’ensemble des salariés qui le peuvent puisse continuer à travailler : les accueils de nos mairies ne sont pas systématiquement fermés, signe que malgré la pandémie, la continuité du service public est cette fois bien assurée. En effet, le confinement brutal de mars avait été l’occasion de tester grandeur nature les Plans de Continuité d’Activité, Communaux et Intercommunaux là où étaient mis en place, mais malgré un début de réflexion, c’est bien le système D qui a prévalu. 

La rentrée universitaire 2020 s’est faite avec le manque de personnel enseignant et le manque de moyens, les universités se sont trouvées abandonnées par le gouvernement dans la mise en place des mesures sanitaires. La nouvelle présidence de l’Université a promis 4 masques lavables pour l’année aux étudiants boursiers et 2 aux non boursiers mais ils n’ont pas encore été distribués.

La crise sanitaire est un révélateur puissant. Elle prouve, s’il en était besoin, que bien que durement affaibli depuis des années, notre système public de santé incarné par l’hôpital public, ses soignants est d’une utilité vitale pour la population. Il faut donc le renforcer.
Sans protection, sans matériel, les personnels soignants, médicaux et non médicaux des hôpitaux, des EHPAD ont fait face avec responsabilité, compétences et créativité.

Le 27 mai, journée nationale de la Résistance, célèbre la création du Conseil National de la Résistance. Né en 1943, en pleine guerre, il réunit huit mouvements de Résistance, six partis politiques et deux centrales syndicales. En ce jour de mémoire, à Nantes, à St Nazaire, à Trignac, à Indre ou Coüeron comme partout en France, le Parti communiste français, dont des dizaines de milliers de militant-e-s ont sacrifié leurs vies dans la Résistance, a tenu à fleurir les monuments consacrés au souvenir des soldats de l’ombre, parmi lesquels des milliers de femmes, comme Cécile Rol Tanguy décédée le 8 mai dernier, le jour des 75 ans de la capitulation nazie.

Cette journée rend hommage, aussi, à toutes celles et ceux qui ont combattu et à celles et ceux morts durant cette guerre. Dans la froideur des chiffres, entre 50 à 70 millions de personnes sont mortes, soit plus de 2% de la population mondiale, selon l'estimation la plus répandue.

Alors que la France rentre dans un processus de déconfinement progressif, la rentrée des classe du 11 mai fait débat tant les incertitudes demeurent sur cette rentrée.

Le PCF quant à lui en appelle à un plan d’urgence pour l’éducation à décliner en trois temps :

  1. Des mesures nécessaires à la réouverture des écoles pour toutes et tous et qui doivent intervenir le plus vite possible
  2. Des mesures à prendre d’ici la rentrée de septembre pour entamer une réorientation profonde des politiques éducatives
  3. Des mesures de moyen terme, visant à construire une politique éducative en rupture avec les logiques qui nous ont conduits à la crise.

En découlent 17 propositions...

 

 

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