La protection de la planète n’est pas un marché ! 

La COP26 s’est tenue du 1er au 12 novembre. Face aux conséquences du dérèglement climatique qui se font sentir partout sur la planète, l’enjeu principal est maintenant de limiter le réchauffement climatique à 1,5°. Il y a urgence ! Pourtant c’est le constat d’échec qui prime avec une lenteur criminelle dans les décisions. Ce n’est pas une COP historique ! En effet les engagements pris « pourraient » permettre un niveau de 2,4° à la fin du siècle. Rappelons que le 1er rapport du GIEC date de 1990, la 1ère COP (Berlin) en 1995.

En France, les émetteurs de CO2 sont principalement : les transports (dont routiers) 29%, l’agriculture 17%, le résidentiel (logements) 16%, les déchets 4%, l’industrie 30% (dont production de l’énergie 9%).

Dimanche 17 octobre 2021 - 11h30

Samedi 16 octobre
- 14h 00 : Inauguration d’une plaque en hommage à Jules Auffret, Marc Bourhis et Guy Môquet au cimetière du Petit Auverné
- 15h 00 : vente dédicace du livre « En vie, En joue, Enjeux » sur les 50 otages à la médiathèque de Châteaubriant
- 20h 30 : conférence de Thomas Fontaine, directeur du Musée national de la Résistance au théâtre de Verre

Dans la France impériale dorée de 1870, la population industrielle s’accroît, la société est toujours dominée par le monde rural. L’âge d’or du capitalisme de libre concurrence s’articule avec la révolution industrielle, c’est le temps des Schneider et des banquiers Pereire. Progrès techniques et exploitation de classe riment avec pauvreté. Les réalités d’existence des ouvriers –environ 3 millions dans les villes- sont miséreuses. Pour le logement comme pour les subsistances.

En mars dernier comme l’État à son sommet, les collectivités se sont trouvées surprises par l’évolution de l’épidémie de COVID-19. En l’absence de préparation, les textes encadrant l’action publique n’ont cessé d’évoluer et, par-là, une grande diversité de mesures ont pu - ou non - être prises au niveau local.

Avec ce deuxième confinement, le Gouvernement a souhaité que les services publics demeurent accessibles et fonctionnels et que l’ensemble des salariés qui le peuvent puisse continuer à travailler : les accueils de nos mairies ne sont pas systématiquement fermés, signe que malgré la pandémie, la continuité du service public est cette fois bien assurée. En effet, le confinement brutal de mars avait été l’occasion de tester grandeur nature les Plans de Continuité d’Activité, Communaux et Intercommunaux là où étaient mis en place, mais malgré un début de réflexion, c’est bien le système D qui a prévalu. 

La rentrée universitaire 2020 s’est faite avec le manque de personnel enseignant et le manque de moyens, les universités se sont trouvées abandonnées par le gouvernement dans la mise en place des mesures sanitaires. La nouvelle présidence de l’Université a promis 4 masques lavables pour l’année aux étudiants boursiers et 2 aux non boursiers mais ils n’ont pas encore été distribués.

La crise sanitaire est un révélateur puissant. Elle prouve, s’il en était besoin, que bien que durement affaibli depuis des années, notre système public de santé incarné par l’hôpital public, ses soignants est d’une utilité vitale pour la population. Il faut donc le renforcer.
Sans protection, sans matériel, les personnels soignants, médicaux et non médicaux des hôpitaux, des EHPAD ont fait face avec responsabilité, compétences et créativité.

Le 27 mai, journée nationale de la Résistance, célèbre la création du Conseil National de la Résistance. Né en 1943, en pleine guerre, il réunit huit mouvements de Résistance, six partis politiques et deux centrales syndicales. En ce jour de mémoire, à Nantes, à St Nazaire, à Trignac, à Indre ou Coüeron comme partout en France, le Parti communiste français, dont des dizaines de milliers de militant-e-s ont sacrifié leurs vies dans la Résistance, a tenu à fleurir les monuments consacrés au souvenir des soldats de l’ombre, parmi lesquels des milliers de femmes, comme Cécile Rol Tanguy décédée le 8 mai dernier, le jour des 75 ans de la capitulation nazie.

Cette journée rend hommage, aussi, à toutes celles et ceux qui ont combattu et à celles et ceux morts durant cette guerre. Dans la froideur des chiffres, entre 50 à 70 millions de personnes sont mortes, soit plus de 2% de la population mondiale, selon l'estimation la plus répandue.

Alors que la France rentre dans un processus de déconfinement progressif, la rentrée des classe du 11 mai fait débat tant les incertitudes demeurent sur cette rentrée.

Le PCF quant à lui en appelle à un plan d’urgence pour l’éducation à décliner en trois temps :

  1. Des mesures nécessaires à la réouverture des écoles pour toutes et tous et qui doivent intervenir le plus vite possible
  2. Des mesures à prendre d’ici la rentrée de septembre pour entamer une réorientation profonde des politiques éducatives
  3. Des mesures de moyen terme, visant à construire une politique éducative en rupture avec les logiques qui nous ont conduits à la crise.

En découlent 17 propositions...

 

 

Le premier trimestre 2020 aura vu la propagation du Covid-19 à travers le monde. A chaque pays sa stratégie pour lutter contre le virus.
Le taux de létalité (nombre de décès par rapport au nombre de personnes affectées) du Covid-19 est différent selon les pays : en cause, le développement de ces pays, l’efficience de leur système sanitaire et nombre d’autres données objectives (densité de population, acculturation aux épidémies…), mais aussi les décisions politiques prises par les gouvernements pour anticiper et faire face dans un second temps.

Pénurie de masques, de médicaments, manque de respirateurs, diminution du nombre de lits dans les hôpitaux : Comment l’Etat a-t-il organisé la dégradation de nos services publics ?  
Explications en 3 infographies : 

Pour la privatisation des richesses, contre la défense des services publics. Des choix budgétaires qui bénéficient aux actionnaires et grosses multinationales, qui en échange fraudent massivement l’impôt. 

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