Comme chaque année, le 1er novembre marque pour des milliers de ménages quelques mois de répit dans les procédures d’exécution des expulsions locatives. Quelques mois sans vivre avec la crainte quotidienne de voir sonner la force publique et les huissiers à leur domicile, mais aussi l’espoir de trouver une solution de relogement ou de maintien. L’expulsion de son logement est une violence sociale !

La bataille des municipales 2026 a commencé et partout en France les maires et les équipes sortantes font part de leurs intentions, des listes se déclarent, d’autres sont en construction, les projets s’affinent et les contours des rassemblements politiques se concrétisent. Dans tous les cas, même s’il s’agit d’élections locales, elles auront tout de même une portée nationale. 

Depuis bientôt six ans et dans la continuité du travail amorcé par Raymond Gade, les conseillers municipaux « Carquefou à Gauche » ont le sentiment d’avoir fait le maximum pour défendre l’intérêt général et leurs idées, de l’avoir toujours fait dans le respect des valeurs de la liste en 2020. 

Nous vous donnons rendez-vous le 19 octobre pour un hommage aux 27 résistants fusillés dans la carrière de La Sablière le 22 octobre 1941. En ce 84e anniversaire, nous avons l’impérieux devoir de nous souvenir de leur sacrifice.

Dimanche 12 octobre à 9h45 à Indre : 
- Hommage à Eugène et Léoncie Kérivel

Vendredi 17 octobre 2025 à 17 h 45 à Nantes
- Veillée du souvenir au Monument aux 50 Otages et à la Résistance à Nantes, évocation artistique et historique « On ne prépare pas l’avenir sans éclaircir le passé » par le Théâtre d’ici ou d’ailleurs. 

Samedi 18 octobre 2025 à Châteaubriant :

- 14 h 30 : Hommage collectif à la stèle du camp de Choisel (angle des rues Guy Môquet et Camille Corot), mais aussi hommage particulier à Rino Scolari, interné au camp et ancien Secrétaire Général de l’Amicale.
- 15 h 30 : Hommage au Château ; dépôt de gerbes de fleurs sur les lieux où furent entreposés les corps des fusillés après l’exécution.
- 17 h 00 : Au Musée de la Résistance (route de Soudan), vernissage de l’exposition temporaire sur le thème du concours du CNRD « La fin de la Shoah et de l’univers concentrationnaire nazi. Survivre, témoigner, juger (1945-1948) ».

Dimanche 19 octobre 2025 à Châteaubriant

- 10 h 00 : À La Blisière (44670 Juigné-des-Moutiers), hommage aux fusillés du 15 décembre 1941. 
- 13 h 30 : Rond-point Fernand Grenier, Hommage à Fernand Grenier.
- 14 h 00 : Accueil à la carrière.

- 14 h 30 : Début de la cérémonie officielle.
-15 h 10 : Intervention de Carine Picard Niles, Présidente de l’Amicale Châteaubriant-Voves Rouillé-Aincourt.

- 15 h 20 : Intervention de Stéphane Peu, Président du groupe de la Gauche Démocrate et Républicaine à l’Assemblée Nationale pour la direction du Parti Communiste.
- 15 h 30 : Évocation Historique chantée « Paix et Liberté » par les chorales Méli-Mélo de Châteaubriant et Chœur et Mouvement de Seine-Saint-Denis.

- 16 h 30 : Fin de la cérémonie et remerciements.

 

 

Le Comité du souvenir de la Résistance 44, l’Aremors (Association de recherche et d’études sur le mouvement ouvrier dans la région de Saint-Nazaire) et le collectif JDN2025 annoncent la sortie d’une brochure consacrée à La Résistance populaire dans la Poche de Saint-Nazaire. 

À l’occasion du 81e anniversaire de l’exécution de Jean de Neyman, à Heinlex le 2 septembre 1944, les historiens de l’Aremors, Michel Mahé et Jean-Yves Martin, publient, en partenariat avec le Comité départemental du souvenir, un livret illustré retraçant l’engagement de résistants issus des milieux ouvriers, ruraux et populaires.

Un espace d’accueil pour les femmes victimes de violences, « Le 24 », a été inauguré en septembre dans le centre de Saint-Nazaire. Situé au 24 rue d’Anjou, il accompagne des femmes et leurs enfants sans rendez-vous de 9h30 à 17h30 tous les lundi, mardi, mercredi et vendredi. La structure met à leur disposition des hébergements d’urgence ainsi qu’un accompagnement par des professionnelles. 

Après la visite des chantiers de l’Atlantique à Saint-Nazaire, plus grand chantier naval d’Europe, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste français se rendait à La Manufacture, boulevard Stalingrad à Nantes, où quelques 250 personnes attendaient pour échanger avec lui.

À l’heure où, en Loire-Atlantique, la préfecture engage une véritable chasse aux familles déboutées du droit d’asile en les menaçant d’expulsion de leurs hébergements d’urgence, nous, chefs de file de la campagne municipale du Parti communiste français à Nantes, tenons à réaffirmer notre position : personne ne doit être laissé à la rue.

Afin de financer le ramassage et le traitement des ordures ménagères, avec pour objectif la valorisation optimale de ce qui peut l’être, les intercommunalités ont le choix entre deux types de fiscalité locale sur les déchets : 

· La taxe d’enlèvement des ordures ménagères (TEOM), modulée en fonction de la valeur locative du logement. 

· La redevance d’enlèvement des ordures ménagères (REOM), modulée en fonction du service rendu (utilisation ou non du service, volume du bac à ordures, nombre de personnes dans le foyer, etc.). 

Ahmet, les mouvements sociaux sont peu fréquents dans le secteur du commerce, peux-tu nous décrire le contexte ? Et d’abord qui est Primark ?

Primark est une chaîne de magasins irlandaise, installée en France depuis 2017 et spécialisée dans la distribution de vêtements à petits prix. Elle met en œuvre une politique sociale désastreuse et, tout en parlant de cohésion de groupe, de dialogue avec les employés, empêche ceux-ci de parler entre eux, les surveille, les flique non stop. La direction ne veut pas qu’il y ait des affinités au travail et marque la différence entre les managers et les autres. Elle cherche à empêcher toute contestation : à Mulhouse récemment, ils ont licencié sept camarades grévistes, mais ça n’empêche pas que ça bouge un peu partout : à Toulon, il y a eu 250 grévistes.

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