Il y avait beaucoup d’autosatisfaction, mardi 31 janvier, dans le discours de politique générale de Gabriel Attal, louant le travail du Président, de ses prédécesseurs et leurs gouvernements : retour de l’industrie sur le sol national, taux de chômage en baisse, attractivité pour les investissements étrangers, lutte contre le réchauffement climatique, etc.