Pendant deux jours et sur le thème de la souveraineté industrielle, Léon Deffontaines a sillonné l’estuaire de la Loire, à la rencontre du monde du travail, de syndicalistes des ports et docks, de l’aéronautique, de la SNCF, de la fonction publique territoriale ou des banques. Après des échanges et la visite des ateliers de réparation du Grand port maritime Nantes Saint-Nazaire au Pellerin, direction le studio de Télénantes pour une interview sur son déplacement. C’était avant la réunion publique des Salons Mauduit au cours de laquelle le candidat a pu exposer le projet de la liste « Gauche unie » et répondre aux questions d’une salle attentive et participative. C’était sans Fabien Roussel, prévu pour ce déplacement mais retenu au Palais Bourbon pour défendre la position des communistes dans le débat sur l’aide militaire française à l’Ukraine.
Le lendemain, c’est au micro de France Bleu Loire Océan que Léon Deffontaines commençait la journée. S’en suivait l’étape à Saint-Nazaire pour une discussion sur les enjeux industriels locaux, avec des militant-e-s communistes et des syndicalistes du bassin industriel nazairien, autour d’un petit-déjeuner organisé dans un café sur le terre-plein de Penhoët, à proximité des Chantiers de l’Atlantique. Le déplacement s’est conclu à Cordemais, à la centrale électrique EDF, avec le syndicat CGT, pour un dialogue sur l’énergie et sur le projet de reconversion Ecocombust porté depuis plusieurs années par les salariés eux-mêmes. Le pouvoir des salariés dans les entreprises et la réindustrialisation de la France et de l’Europe sont au cœur du projet porté par Léon Deffontaines. C’est ce qu’il est venu dire dans le département, à 100 jours de l’élection européenne 2024.