La Loire-Atlantique a de nouveau été au centre de l’attention des mouvements écologistes et altermondialistes, dont de nombreux militants sont venus de toute la France et ont convergé dans le département, le dimanche 11 juin, pour  dire trois fois non : non à l’extension des carrières de sable de Saint-Colomban, non à la bétonisation et non au maraîchage industriel. 

Saint-Brévin-les-Pins est depuis plusieurs semaines au cœur de l’actualité, mais d’une triste manière. 

La Journée nationale de la Résistance du 27 mai dernier avait une particularité, celle de se dérouler 80 ans après la création du CNR. Le Conseil National de la Résistance, créé le 27 mai 1943, était l’organisme de coordination des mouvements de Résistance, dirigé, avant son arrestation et sa mort, par Jean Moulin. 

L’été dernier nous a rappelé les conséquences du changement climatique sur le cycle de l’eau. Entraînant sécheresses à répétition et phénomènes pluvieux plus intenses, cette réalité nous oblige à agir. En réduisant à la fois l’impact des activités humaines sur l’environnement et en améliorant en parallèle la résilience de nos territoires, leur capacité à s’adapter.

Le Pharo de la ville « rebelle » de Marseille a accueilli le congrès national du PCF du 7 au 10 avril dernier. À quelques pas du Vieux port, 700 délégués communistes ont planché, sourire aux lèvres mêlés au sens des responsabilités, pour ce grand rendez-vous démocratique, sérieux et fraternel.  Le soleil méditerranéen et l’actualité sociale y étaient certainement pour quelque chose.

Les manifestations dans le département ont aussi connu un succès historique : plus de 100 000 personnes ! 80 000 à Nantes, 15 000 à Saint-Nazaire, 3550 à Ancenis, 2000 à Châteaubriant et 700 à Coüeron. De mémoire de militant syndical, ce n’était jamais arrivé. Cette affluence record traduit la colère populaire et les ressorts de la mobilisation contre la réforme des retraites. Oui, les salariés, retraités et privés d’emploi sont encore disposés à lutter. Pour elles et eux, pas question de tourner la page. 

L’Anses a publié récemment un rapport sur la contamination des ressources en eau potable par des polluants émergents. Il pointe en particulier la présence d’un métabolite, c’est-à-dire un produit de dégradation issu d’un pesticide utilisé en agriculture. Le métabolite R471811, issu du chlorothalonil, fongicide utilisé en agriculture, a été interdit par l’Union européenne en 2019. L’UE basait sa décision sur un avis de l’agence sanitaire européenne (Efsa). Celle-ci avait formulé plusieurs critiques sur le produit.

Vendredi 7 avril, le conseil départemental annonçait la fermeture du collège Rosa-Parks, dans le quartier populaire du Breil, à Nantes. La fermeture, déjà effective à la rentrée de septembre 2024, viserait à permettre une plus grande mixité sociale en répartissant les 320 élèves sur quatre établissements de centre-ville, dont 250 dans un nouveau collège. Le collège Rosa-Parks, construit en 1971, répondait à la volonté de développer les services éducatifs au plus près des habitants des ensembles nouvellement construits, souvent moins favorisés.

Doit-on encore faire reposer en 2023 la défense d’un pays sur la base de la dissuasion nucléaire ? Peut-on encore affirmer que les armes nucléaires assurent la Paix ? Sont-elles capables d’empêcher une guerre ? En chiffres, les armes nucléaires dans le monde, c’est environ 15 000 armes nucléaires possédées par neuf états au travers le monde, dont les deux-tiers uniquement par les Etats-Unis et la Russie.

De son nom complet, ZFE-m (Zones à faibles émissions mobilité) instaure une restriction de circulation dans certaines zones aux véhicules considérés comme les plus polluants. Ces nouvelles règles d’interdiction doivent entrer en vigueur d’ici 2025 en France dans les 43 agglomérations de plus de 150 000 habitants. En Loire-Atlantique, Saint-Nazaire et Nantes sont dans ce cas. La CARENE et Nantes métropole devront donc fixer des règles pour rentrer dans les normes antipollution fixées par l’Union Européenne.

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