L’ensemble des agglomérations de plus de 150 000 habitants doivent délibérer pour appliquer une ZFE (zone à faible émissions) au 1er janvier 2025. À l’occasion du vote du Paqam (Plan d’Action Qualité de l’Air Métropolitain), en conseil de Nantes Métropole, l’élu herblinois Éric Couvez a dit au nom des élus communistes et républicains le soulagement que cette ZFE peu contraignante allait être pour une grande partie de la population de la métropole mais également pour l’ensemble de sa périphérie.

Durant la deuxième semaine du mois de janvier, la baisse des températures a provoqué l’activation par la préfecture du Plan grand froid niveau jaune sur l’ensemble du département. Ce plan entre en action lorsque les températures minimales descendent en dessous de moins cinq degrés Celsius. Principale mesure d’urgence, ce Plan grand froid ajoute des places supplémentaires au dispositif global d’hébergement et d’accès au logement qui est déjà composé de 11 635 places sur le département dont 2200 places d’hébergement d’urgence.

Le vote de la loi dite « Asile et immigration », adoptée par l’Assemblée nationale le 19 décembre dernier, a profondément choqué dans les rangs de la société française comme à l’étranger. Cette loi, inspirée de l’extrême droite et paraphée par Emmanuel Macron et son gouvernement est un tournant dans l’histoire de la 5e République et un coup porté aux valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité.

Fondée en 2017, l’entreprise Lhyfe produit de l’hydrogène vert, ce qui consiste à « casser » des molécules d’eau à l’aide d’un courant électrique, via un électrolyseur, afin d’en extraire le dihydrogène H2. Pour que cet hydrogène soit considéré comme « vert » ou renouvelable, l’électricité utilisée doit être elle-même décarbonée. Cette énergie verte contribue ainsi à la réduction des émissions de carbone, notamment dans le domaine industriel.

L’Auran (Agence d’urbanisme de la région nantaise) nous livre une nouvelle synthèse sur les déplacements quotidiens des travailleurs de Loire-Atlantique. Cette étude apporte un éclairage sur l’évolution des modes de transport et sur l’emploi entre 2009 et 2020.

Les travailleurs portuaires du Grand Port maritime Nantes-Saint-Nazaire, les agents du GPMNSN ainsi que ceux du GMOP (opérateurs privés) étaient appelés aux urnes le 6 décembre dernier pour leurs élections pour le Comité social et économique.

Le président de l’association Départements de France, François Sauvadet, avait prévenu il y a un an : en 2023, cela devrait passer, mais à partir de 2024, c’est incertain. « L’année 2023 nous fait craindre le retour de l’effet de ciseau avec une chute des recettes et une évolution des dépenses ». Ainsi, l’ensemble des départements français sont touchés à plus ou moins grande échelle par des recettes de fonctionnement en baisse et des dépenses contraintes en forte hausse.

Après une douloureuse visite à Nantes il y a un mois, Clément Beaune a fait son retour pour signer un nouveau plan État-Région. Le document débloque des moyens pour développer les transports en Pays de la Loire avec près de 700 millions d’investissements, dont une bonne moitié pour le rail et particulièrement pour le RER métropolitain. Mais n’y voyez pas pour le moment une révolution pour les transports du quotidien. Si la somme peut faire rêver, répartie sur 5 ans, elle permet seulement d’améliorer des axes déjà existants.

Les communistes ont validé la candidature et la stratégie de rassemblement proposées par le Conseil National et la conférence européenne du PCF qui se sont tenus le 14 octobre dernier à Paris. Léon Deffontaines, porte-parole du PCF, ancien secrétaire national du Mouvement des Jeunes Communistes a été largement désigné Tête de liste.  91 % des adhérents du PCF ont approuvé ce choix. Le jeune candidat de 27 ans conduira une liste ouverte à toutes les forces et personnalités de gauche qui partagent la démarche des communistes.

Dans le nord du département, à Guémené-Penfao, une ancienne carrière de grès est sur le point d’être ré-exploitée. Les riverains sont inquiets, et on les comprend ! L’exploitation de cette carrière par la société Baglionne a cessé il y a environ 35 ans elle s’est alors remplie d’eau. L’entreprise, qui a déposé le bilan en 2010, devait remettre en état le site mais n’a rien fait. Depuis, les riverains et connaisseurs se sont appropriés les lieux et en ont fait un point de baignade et de loisir, bien agréable en été.

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