Un rassemblement de soutien au projet « Ecocombust » a mobilisé plus de 500 personnes le 17 avril dernier sur le site industriel de Cordemais. Sophie Binet, Secrétaire confédérale de la CGT, Sébastien Ménesplier, Secrétaire de la Fédération CGT de l’énergie, étaient présents sur les bords de Loire pour apporter leur soutien à ce projet industriel pensé et construit par les salariés eux-mêmes.

5 000 personnes à Nantes, 2 000 à Saint-Nazaire, 200 à Ancenis et une centaine à Châteaubriant : ils étaient nombreux dans les cortèges pour exiger de meilleures conditions de vie. La principale revendication des manifestants était la hausse immédiate du Smic à 2 000 € brut, des minima sociaux, du point d’indice de la fonction publique et des retraites. Ils demandaient également aux directions d’entreprise d’augmenter l’ensemble des salaires, surtout là où les entreprises réalisent des marges et rémunèrent les actionnaires.

NLA : Inaugurée le 28 février 2014, la ligne de Tram-Train entre Nantes et Châteaubriant est en service depuis dix années maintenant. Peux-tu nous rappeler les enjeux qui ont vu naître ce projet ?

Malgré les chiffres encourageants publiés par la préfecture montrant une diminution de la délinquance générale de l’ordre de 11 % à Nantes en 2023 et de 3.2 % sur l’ensemble du département, certains événements récents nous rappellent que le chemin à effectuer pour en arriver à une certaine sérénité dans l’espace public est encore long. Ceci d’autant plus pour les habitantes et habitants de nos quartiers populaires.

Pendant deux jours et sur le thème de la souveraineté industrielle, Léon Deffontaines a sillonné l’estuaire de la Loire, à la rencontre du monde du travail, de syndicalistes des ports et docks, de l’aéronautique, de la SNCF, de la fonction publique territoriale ou des banques. Après des échanges et la visite des ateliers de réparation du Grand port maritime Nantes Saint-Nazaire au Pellerin, direction le studio de Télénantes pour une interview sur son déplacement.

Léon Deffontaines, tête de la liste « gauche unie » aux élections européennes, a tenu sa première  réunion publique ligérienne, à Nantes, aux Salons Mauduit le mardi 13 mars dernier. Près de 300 personnes étaient présentes pour un échange à bâtons rompus avec la salle, dans une ambiance mobilisatrice. Ce fut l’occasion de lancer en grand la campagne des européennes 2024 en Loire-Atlantique.

Madame Christelle Morançais a annoncé début février qu’elle rejoint l’ancien Premier ministre Édouard Philippe et son parti Horizons. Pour la présidente de la région : « Je choisis de rejoindre Édouard Philippe (…) Je le fais pour mes convictions, celle d’une droite que je veux lucide, moderne, ouverte, connectée aux enjeux complexes de notre temps ». 

Elle aime également rappeler depuis quelques temps son admiration pour son nouveau chef de parti, que se soit sur le plan humain ou politique. 

Une directive européenne de 1997 portait sur la libéralisation totale du marché des services postaux, envisagée pour 2011. Il s’agissait de mettre fin au monopole que La Poste exerçait sur le courrier de moins de 50 grammes. 

Pour ce faire et malgré une très forte opposition – on se souvient des plus de 2 millions d’avis contraires lors de la votation citoyenne de 2009, il avait fallu transformer le statut de La Poste, transformée d’établissement public à caractère industriel et commercial en société anonyme, avec une ouverture au capital l’année suivante. À l’époque, L’Humanité affirmait : « La privatisation de La Poste ne va pas améliorer la qualité du service rendu, mais au contraire la dégrader et rendre celui-ci beaucoup plus inégalitaire. »

L’ensemble des membres du Parti communiste français sont appelés à voter du 8 au 10 mars prochain sur la proposition de la liste présentée par le parti et dans laquelle de nombreuses candidatures sont issues du monde du travail et des luttes sociales.

Alors que des chantiers navals de Saint-Nazaire sortent de majestueux paquebots destinés au plaisir de riches clients du monde entier, la CGT Navale dévoile un envers du décor peu flatteur. Le syndicat dénonce des conditions de travail indignes de chantiers qui font la fierté de la région et des salaires trop faibles, dont les augmentations récentes restent en-dessous de l’inflation.

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