Les élus communistes au sein du groupe politique “Gauche Commune” à la ville de Nantes ont eu l’occasion d’exprimer leur point de vue à propos du vœu présenté en conseil municipal relatif à l’organisation d’un référendum à propos du rattachement de la Loire-Atlantique à la Bretagne. Sur la forme, cette proposition de vœu était conforme au respect des engagements pris lors de la campagne municipale.

Un paradoxe mérite d’être posé d’emblée : dans un parc social qui accueille de plus en plus de ménages à faibles ressources, ceux-ci ont plus de difficultés à y accéder. Selon les termes législatifs définissant les objectifs de la politique publique de logement social française, la mission du parc social serait de loger de manière décente et pour un coût compatible avec leurs ressources, des ménages qui ne pourraient pas l’être dans les conditions actuelles du marché. L’État ne remplit plus cette mission.

1er janvier 2021 : déchets et poubelles sont à l’ordre du jour, une question loin d’être anodine. Le secteur capitaliste de collecte et traitement des déchets compte 1926 entreprises, dont les géants Veolia, Suez, Derichbourg.  La « compétence » déchets est dévolue aux intercommunalités sous deux régimes : celui de la TEOM (taxe d’enlèvement des ordures ménagères), et celui de la REOM, ou redevance « incitative ».

NLA : Face à la crise sanitaire et sociale, dans quel état d’esprit sont les militants CGT ?

Au 1er janvier, les abonnés des transports publics nantais ont vu les tarifs des abonnements fondre. Une bonne nouvelle en ce début d’année qui, pour beaucoup, s’annonce difficile. Depuis mars 2020, les mesures imposées par l’épidémie de COVID-19 impactent le quotidien de l’ensemble des habitants de la métropole nantaise. La crise sanitaire se double d’un choc conjoncturel dont les conséquences se mesurent tant sur un plan économique que social.

Le rachat, par le constructeur italien Fincantieri, des chantiers navals de St Nazaire, détenus à 84% par l’Etat français, n’est pas encore d’actualité. L’accord de vente signé en février 2018 prévoyait que l’entreprise publique italienne devienne actionnaire majoritaire des « Chantiers de l’Atlantique ».

Début janvier l’INSEE a publié les chiffres de son «recensement général». Voyons cette carte extraite de l’Atlas numérique de la Loire-Atlantique (atlas.loire-atlantique.fr). 

À la différence des infographies de la presse - ciblant des records et les Tops 10 ou 15 dans les 207 communes - celle-ci permet de figurer en un seul coup d’œil à la fois les disparités de peuplement (ronds violets, proportionnels aux populations communales), tout en visualisant les évolutions plus locales (trame par commune, de l’orange au gris-bleu). Mais une simple « photo à l’instant T », qu’il faut rapprocher d’autres cartes. Pour quel constat ? Le poids démographique de Nantes reste prédominant et Saint-Nazaire est loin d’y faire contrepoids. En périurbain nantais, l’étalement urbain se confirme suivant un cercle d’une quarantaine de kilomètres de rayon, avec un étalement du rajeunissement et une croissance naturelle élevée. 

Crise ou pas crise la Société Générale n’en finit plus de « restructurer ». Ainsi tailler dans les effectifs semble même être devenu, à l’instar d’autres grands groupes, un mode de gestion en soi. Lundi 9 novembre, l’entreprise a donc annoncé la sortie de son dernier plan social, avec le départ de 640 personnes au niveau national dont 60 à Nantes. Malgré ces nombreux plans de restructuration faits pour le marché, le cours de l’action continue de dégringoler (-58 % sur 10 ans).

Fabien Gay, sénateur communiste de Seine St Denis était en Loire-Atlantique le 19 octobre. Accompagné par Louis Chrétien, Eric Couvez et Pedro Maia, membres de la direction départementale du PCF, Fabien Gay est venu pour suivre l’évolution de projets industriels tournés vers la transition énergétique et écologique. Lors de sa dernière visite, en janvier 2018, Fabien Gay s’était engagé à revenir rencontrer les salariés et les syndicalistes CGT parmi lesquels ceux du Grand port maritime Nantes-St Nazaire et ceux de la centrale électriq

Amazon fait partie de ces entreprises que la bonne fée Internet a su combler : fondée il y a moins de 25 ans, cette société a su très vite parvenir dans les toutes premières mondiales, employant à travers le monde presque 650 000 personnes. Au départ simple commerce de vente de livres en ligne, Amazon  s’est très vite diversifié pour devenir le géant du commerce électronique que l’on connaît, avec un chiffre d’affaires annuel atteignant la somme de 280 milliards de dollars (2019).

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