Un des principaux enseignements du premier tour de l’élection présidentielle aura été le très fort taux d’abstention, de l’ordre de 26 % - soit 12,8 millions de personnes. Ce phénomène est d’autant plus préoccupant qu’il s’est vu accentué dans les zones où le sentiment d’abandon est le plus marqué, notamment en Corse et en outre-mer – jusqu’à 69 % en Polynésie.

Circulez… il n’y a rien à voir ! L’ex-président candidat est réélu, comme attendu, sans avoir véritablement fait campagne. Malgré un bilan très controversé et une gestion clivante, les institutions de la Cinquième République ont offert à nouveau à Emmanuel Macron les clefs de l’Élysée. Il est de fait avéré que l’élection présidentielle, de par les pouvoirs qu’elle octroie au vainqueur, impose son rythme à l’ensemble de la vie politique du pays.

Après quinze ans d’absence aux élections présidentielles, la parole communiste (portée chaleureusement par Fabien Roussel) est de retour. Un scrutin structurant de notre société qui porte la marque de la dérive présidentialiste de la république. Une réalité qui accentue la personnalisation et la bipolarisation au détriment du fond, tout au moins pour ceux qui s’inscrivent dans cette démarche.

Le lundi 25 avril dernier, de nombreux salariés de Veolia eau Bretagne, Pays de la Loire et Centre Val de Loire, en grève, se sont réunis devant le siège régional à Nantes pour demander une revalorisation de salaire et une revalorisation du régime indemnitaire.
 

La journée internationale des travailleurs et des travailleuses a fortement mobilisé en Loire-Atlantique. Plus de 5 000 personnes à Nantes, 800 à Saint-Nazaire, 180 à Couëron, 110 à Châteaubriant, 100 à Ancenis sont descendus dans la rue sous les mots d’ordre d’augmentation des salaires, d’arrêt des réformes anti-sociales, de transition écologique et de lutte contre le fascisme.

Depuis une quinzaine de mois, le Collectif Urgence Sociale Saint-Nazaire Plus Jamais Sans Toi-t se mobilise quotidiennement pour accueillir et héberger des personnes sans toit, des familles, des hommes ou femmes seules, parfois sans-papiers, des personnes expulsées de leur logement ou récemment arrivées sur le territoire. 

Avec plus d’une vingtaine de livres à son actif, Lydie Salvayre est une autrice qui compte dans le paysage littéraire contemporain. L’œuvre, très diverse, a quitté délibérément les parages de la neutralité et du consensus pour porter la voix des victimes du monde tel qu’il est.

Été 53. Bords de Seine, guinguette, bal. Un homme, une femme, jeunes. Quelques verres, un peu plus de regards, retour en voiture... Et prise de becs mémorable. Elle, est immigrée polonaise, son père est bloqué de l’autre côté du rideau de fer, alors le stalinisme, hein !, faut pas lui en raconter. Lui, est ouvrier du gaz, à la CGT et au Parti communiste algérien, alors, hein !, il défend ses intérêts de classe face à l’exploitation. Étincelles (véridiques), feux de l’amour, mariage.

Cela ne fait plus de doute : l’Allemagne va acquérir les avions de combat F-35 du constructeur Lockheed Martin pour remplacer les vieux Tornados de la Luftwaffe.

« Covidé » mais galvanisé à distance par le meeting de Fabien Roussel !  Ce fut un meeting à l’image de la campagne : dynamique, vivant et joyeux.
L’objectif de ré-enchanter la Gauche est atteint. De la fanfare « Jujubees Swing Combo », pour l’ambiance, à « L’Internationale », les prises de parole des soutiens issus du rassemblement et le rappel des combats locaux ; tout y était pour affirmer nos valeurs. 
Je retiendrai deux propositions de justice sociale : 

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