Au Mali, depuis le coup d’État d’août 2020, le pays est confronté à une grande instabilité. Isolée, la junte militaire en place est sommée par les instances internationales d’organiser des élections démocratiques. Pour forcer les officiers autoproclamés à rendre le pouvoir aux civils, les instances internationales africaines et de l’UE engagées dans la région contre les djihadistes, ont décidé d’un quasi embargo sur le pays. Les gouvernements d’Afrique de l’Ouest, soutenus notamment par la France, bloquent les frontières et les avoirs du Mali.

Après deux semaines de débats à l’Assemblée nationale, le passe vaccinal a été adopté, il remplace le passe sanitaire.

La dette est l’argument avancé par les libéraux, adorateurs du marché, pour justifier la réduction des dépenses publiques et sociales utiles. La rétraction des services publics, les privatisations et la mise en place de « réformes » comme celles de l’assurance-chômage et des retraites en sont une autre déclinaison. Alors que nous avons besoin de services publics renforcés notamment dans la santé et l’éducation.

Pendant la crise pandémique, avec le « quoi qu’il en coûte » du pouvoir macronien, la dette s’est renforcée. Une  situation qui permet de la démystifier lorsqu’ il s’agit de répondre aux besoins essentiels de la population en matière de santé. La mise en place  du FPU (forfait patient urgence) pour les patients se présentant aux urgences sans un suivi d’hospitalisation ne répond plus à cette notion. Il faut maintenant passer à la caisse. 

La nouvelle année voit arriver, parmi son lot d’augmentations, la hausse parfois conséquente de la tarification du ramassage des ordures ménagères. Les différentes modalités de calcul mises en place pour l’élaboration des tarifs rendent malaisées les comparaisons entre les collectivités, entre les abonnements, les forfaits, les tarifs des ramassages dépassant le forfait, les volumes des poubelles considérées, la fréquence des passages...

Ouverture à la concurrence des lignes régionales Stéphane Godard, syndicaliste CGT cheminots nous répond :

Quelles lignes du département sont concernées par l’ouverture à la concurrence décidée par le Conseil Régional ?

Suite à l’annonce du nouveau protocole sanitaire édicté 24 heures avant la rentrée scolaire, la colère a débordé dans le monde de l’enseignement.

À l’appel de cinq organisations syndicales (CGT, FO, CNT, Sud et FSU) les « oubliés du Ségur de la santé » ont répondu présents. Plus de 2000 salariés, agents et usagers des établissements privés et publics dans les domaines sanitaire, médico-social et social se sont mobilisés à Nantes.

Quelle satisfaction, dans la période que nous connaissons, de voir programmer La Folle Journée 2022 du 26 au 30 janvier, le rendez-vous nantais de la musique classique ! Pour Aymeric Seassau, adjoint communiste à la Culture à Nantes, « C’est peut-être, à nouveau, le premier événement national à être maintenu dans le contexte sanitaire ». 

Suite à l’empêchement du concert d’Anna von Hausswolff sous la pression de catholiques intégristes français, Frédéric Hocquard, adjoint à la maire de Paris, Carine Rolland, adjointe à la maire de Paris en charge de la culture et Aymeric Seassau, adjoint à la culture à la maire de Nantes ont publié une tribune commune : 
« Garantir l’accès aux spectacles et aux expositions, c’est garantir l’État de droit 

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