Le 27 mai, journée nationale de la Résistance, célèbre la création du Conseil National de la Résistance. Né en 1943, en pleine guerre, il réunit huit mouvements de Résistance, six partis politiques et deux centrales syndicales. En ce jour de mémoire, à Nantes, à St Nazaire, à Trignac, à Indre ou Coüeron comme partout en France, le Parti communiste français, dont des dizaines de milliers de militant-e-s ont sacrifié leurs vies dans la Résistance, a tenu à fleurir les monuments consacrés au souvenir des soldats de l’ombre, parmi lesquels des milliers de femmes, comme Cécile Rol Tanguy décédée le 8 mai dernier, le jour des 75 ans de la capitulation nazie.

Cette journée rend hommage, aussi, à toutes celles et ceux qui ont combattu et à celles et ceux morts durant cette guerre. Dans la froideur des chiffres, entre 50 à 70 millions de personnes sont mortes, soit plus de 2% de la population mondiale, selon l'estimation la plus répandue.

Alors que la France rentre dans un processus de déconfinement progressif, la rentrée des classe du 11 mai fait débat tant les incertitudes demeurent sur cette rentrée.

Le PCF quant à lui en appelle à un plan d’urgence pour l’éducation à décliner en trois temps :

  1. Des mesures nécessaires à la réouverture des écoles pour toutes et tous et qui doivent intervenir le plus vite possible
  2. Des mesures à prendre d’ici la rentrée de septembre pour entamer une réorientation profonde des politiques éducatives
  3. Des mesures de moyen terme, visant à construire une politique éducative en rupture avec les logiques qui nous ont conduits à la crise.

En découlent 17 propositions...

 

 

Le premier trimestre 2020 aura vu la propagation du Covid-19 à travers le monde. A chaque pays sa stratégie pour lutter contre le virus.
Le taux de létalité (nombre de décès par rapport au nombre de personnes affectées) du Covid-19 est différent selon les pays : en cause, le développement de ces pays, l’efficience de leur système sanitaire et nombre d’autres données objectives (densité de population, acculturation aux épidémies…), mais aussi les décisions politiques prises par les gouvernements pour anticiper et faire face dans un second temps.

Pénurie de masques, de médicaments, manque de respirateurs, diminution du nombre de lits dans les hôpitaux : Comment l’Etat a-t-il organisé la dégradation de nos services publics ?  
Explications en 3 infographies : 

Pour la privatisation des richesses, contre la défense des services publics. Des choix budgétaires qui bénéficient aux actionnaires et grosses multinationales, qui en échange fraudent massivement l’impôt. 

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